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Les anticorps :" ça ne colle vraiment pas "

Identification

dénomination(s)
Caricature, Dessin de presse, dessin
nombre d'objets
1
n° inventaire
146Fi00720
discipline(s)
Beaux-Arts

Contexte

Création
dessinateur, caricaturiste, journaliste
TOURNADE Maurice: 1er avril 1925: Saint-Martin-le-Beau - 7 novembre 2014 - Tours
lieu(x) et date(s) création-exécution
Tours
13 janvier 1968
précisions sur auteur(s)
TOURNADE Maurice: 1er avril 1925: Saint-Martin-le-Beau - 7 novembre 2014 - Tours Journaliste et caricaturiste. Débuts professionnels à Angers : Tout au début des années 1950, Maurice Tournade vit à Angers où il partage son temps entre le club de football du SCO d'Angers, le chant lyrique, un emploi de secrétaire à la Direction départementale de la Jeunesse et des Sports, et la caricature. Il collabore régulièrement aux rubriques musicales et littéraires du quotidien Ouest-France. Grâce à son talent de dessinateur, La Nouvelle République du Centre Ouest l'appelle pour couvrir les procès de Marie Besnard, à Poitiers, alors que le grand dessinateur Sennep, lui-même, était sur les rangs. Il est probablement le seul journaliste à avoir suivi les trois procès, avec peut-être le chroniqueur judiciaire Frédéric Pottecher. Une longue carrière de journaliste et caricaturiste à Tours : en 1959, sur proposition de Jean Meunier et Pierre Archambault, cofondateurs de La Nouvelle République du Centre Ouest, il intègre ce quotidien régional comme journaliste, critique musical et caricaturiste et s'installe définitivement à Tours avec sa famille. C'est le début de sa carrière professionnelle dans le journalisme. De 1959 à 1989, il publie chaque samedi, en dernière page du journal, une série de dessins humoristiques consacrés à l'actualité politique et sociale, intitulée " La semaine par Tournade". Il caricature aussi très régulièrement les personnalités sportives, politiques ou artistiques pour illustrer ses articles et chroniques. Le Prix du meilleur dessin de Presse lui est décerné en 1991. Il termine sa carrière de journaliste en 1989 au poste de Secrétaire général du quotidien. Témoin et acteur de la vie culturelle en Touraine : Durant cette période, Il est également responsable de la rubrique culturelle du quotidien, s'intéressant tout particulièrement à la musique classique, au chant lyrique et à la peinture, dont il assure les chroniques. À ce titre, il contribue à la promotion et au développement des activités artistiques de la ville, et en particulier : - les "Fêtes musicales en Touraine" (ou festival de la grange de Meslay) créé en 1964 par le pianiste russe Sviatoslav Richter - le musée du Gemmail créé en 1963 par Roger Malherbe-Navarre. Le Maire de Tours, Jean Royer, lui décerne la médaille d'or de la ville de Tours pour sa "large participation au développement de la vie culturelle en Touraine". Il est fait chevalier des Arts et Lettres le 22 avril 2006 par le Ministre de la Culture, Renaud Donnedieu-de-Vabres, pour ses activités de "soliste, organisateur d'un festival musical en Touraine".

Description

dimensions
type
extérieures
matières (techniques)
papier (dessin au trait)
précisions
https://floraweb.cg37.fr/floramusee3/#
Personne représentée
DE GAULLE, Charles: 22 novembre 1890: Lille - 9 novembre 1970 - Colombey-les-Deux-Eglises
Précisions
Le 10 novembre 1966, le gouvernement britannique annonce son intention de mener une série de discussions avec les gouvernements des États membres des Communautés afin de déterminer si les intérêts essentiels britanniques et du Commonwealth pourraient être préservés si le Royaume-Uni signait le traité de Rome et rejoignait la CEE . Ces discussions se sont étalées entre janvier et mars 1967 et, au regard des conclusions, la seconde demande d'adhésion, aux trois Communautés, fut envoyée par le Premier ministre Harold Wilson le 2 mai 1967 après l'obtention du soutien bi-partisan de la Chambre des Communes. Le 16 mai 1967, Charles de Gaulle répondit à la nouvelle demande d'adhésion britannique par un « veto de velours » qui força le Royaume-Uni à chercher le soutien des cinq autres membres des Communautés et les institutions. De Gaulle reconnaissait en effet qu'il ne pouvait pas opposer deux fois son veto et qu'en conséquence la question devrait être débattue à Bruxelles. En dépit de la position de De Gaulle et de la France, la Commission émit une opinion le 29 septembre 1967 dans laquelle elle préconisait l'ouverture des négociations. La position française ne changea pas et le 27 novembre 1967, De Gaulle renouvela son veto lors d'une conférence de presse .La réponse britannique arrivera le 29 novembre par la voie du Premier ministre Harold Wilson. Reprenant point par point les propos de Charles de Gaulle, le Premier ministre britannique contredit l'affirmation du président français en rappelant que la Commission soutenait l'ouverture des négociations avec les États candidats. Il revient également sur les allégations concernant l'économie britannique soulignant les réformes importantes et le soutien des principales organisations internationales d'alors, le Fonds monétaire international et l'Organisation de coopération et de développement économiques. Les "Friendly Five" se rallient à l'avis de la Commission dans un communiqué du Conseil des Communautés européennes en date du 19 décembre 1967. L'unanimité étant requise, la question n'est toutefois pas tranchée à cette réunion. Les relations entre le Royaume-Uni et les Communautés européennes reprirent avec l'ouverture des négociations d'adhésion en juillet 1970.

Statut de l'oeuvre

mention(s) des droits
Droits réservés
Précisions sur les mentions des droits
Archives départementales d'Indre-et-Loire - Maurice Tournade
titulaire des droits
ARCHIVES DÉPARTEMENTALES D'INDRE-ET-LOIRE
Licence accordée par l'auteur du bien
Licence CC BY-NC-ND

Sources documentaires

Rédacteur
TOURNADE Frédéric